la peste 1720

la peste 1720

Cette rade bien abritée par l'île des Embiez constitue un mouillage forain apprécié des navigateurs depuis l'Antiquité. Un chef d'escadre, Charles-Claude Andrault de Langeron, arrive à Marseille le 4 septembre 1720 revêtu de pouvoirs extraordinaires : il a sous ses ordres tous les fonctionnaires, y compris le viguier et les échevins[g 6]. El Gran San Antonio, barco del levante mediterráneo que atracó en Marsella el 25 de mayo de 1720, fue el causante de la epidemia. La responsabilité éventuelle de certaines personnes dans l'origine de l'épidémie ne doit pas faire oublier le grand dévouement des échevins et celui de leurs collaborateurs. La statue la plus célèbre est celle de Mgr de Belsunce, réalisée par Joseph Marius Ramus et érigée en 1853 sur le cours qui porte aujourd'hui son nom ; elle se trouve actuellement sur le parvis de la cathédrale de la Major. Il s'agit de deux toiles imposantes de Michel Serre : « Vue de l'hôtel de ville » (h. 3,05 × L. 2,77) et « Vue du Cours » (actuellement cours Belsunce) (h. 3,17 × L. 4,40), et de quatre gravures de Rigaud. これらの作品においては市民からは騎士ニコラ・ローズが、聖職者からはベルサンス司教といった、美化された英雄たちが取り上げられ、彼らの勇気と献身とに焦点があてられている。特に騎士ニコラ・ローズは、市政府の指示で行った遺体の搬出という出来事を通して、国家による介入による模範を体現したとされている。, 最も有名な像は、ヨセフ・マリウス・ラムスが1853年に制作したベルサンス司教のゾウで、この彫像は大聖堂前の広場にあり、彼の名を取ってベルサンス広場と呼ばれている。第二次世界大戦中は占領中のドイツ軍から押収され、鋳つぶされることのないように、レジスタンスによりルーヴァン大通りの倉庫に隠されていた[53]。, ペストを記念したほかの記念碑や彫刻は以下の通り。ベルサンス司教、シュバリエ・ローズ、プロヴァンス地方行政長官ルブレの彫像がブーシュ=デュ=ローヌ県庁のファザードにある。マルセイユのオテル・デュー病院にはJ.ダヴィエルの胸像と騎士ニコラ・ローズの胸像がある。地下鉄のラ・ティモーネ駅の壁には、ペイソンネル医師と外科医のダヴィエルの肖像画が飾られている。, マルセイユのサクレ・クール教会の二つのステンドグラスのうち一つは、アンヌ=マドレーヌ・レミュサ子爵の助言を受けたベルサンス司教がマルセイユ市をイエス・キリストの聖心に奉納したことを示すもので、もう一つはこの奉納に続き、1722年5月28日に市参事会員が誓いを立てたことを示すものである。, 1720年のペスト流行の際に示したマルセイユの人々の英雄的行動を称えるため、第一帝政期にエストランジン・パストレ広場に記念碑がたてられ、1820年9月16日にドラクロワ県知事により落成された[54]。この記念碑はシャルディニーが製作した頂点にはサン・ヴィクトール修道院の地下墓地から取り出された不死の天才を示す彫像を含む。1839年にフェリックス=パレ広場(かつてのサン=フェレオール広場)に移され、1865年にはビブリオテーク通りの庭に移され、現在でもそこで見ることができる[55]。シャルディニー像の原型はマルセイユ美術館にあるので、頂上にある像はレプリカである。基部の4つの面には、以下のように彫刻されている。, 台座の左側には、ローマ教皇クレメンス12世がマルセイユを支援するために送った小麦を積載した商船が、チュニジアの海賊に拿捕されたことが記されている[56]。, 当法院の臨時法定は、疫病がマルセイユに蔓延しているとの風聞に接し、同市の住民がその市城から出ることを禁ずる。また、. Mi-octobre, les premiers morts. La peste di Marsiglia del 1720 è stata l'ultima epidemia di peste registrata in Francia, nell'allora Regno di Francia e di Navarra. Cette marchandise dont la valeur est estimée entre 300 et 400 000 livres appartient pour les deux tiers à un grand nombre de petits propriétaires, le reste, soit le tiers de la valeur, se répartissant à parts égales entre quatre propriétaires dont Estelle[c 30]. Un système est progressivement mis en place et montre son efficacité puisqu’en 1720 Marseille n'a pas connu d'épidémie depuis soixante ans[c 2]. Le grand Saint-Antoine entre dans le port de Marseille, avec à son bord la peste. Une épingle en bronze plantée dans la première phalange du gros orteil a souvent été trouvée : il s'agit d'une pratique habituelle à cette époque pour vérifier la mort effective de l'individu[a 3]. 1720, la Peste à Marseille. Ce quartier habité par des familles de marins et situé à proximité de l'église Saint-Laurent a été totalement ravagé par la peste. Cette étude suggère ainsi l'existence probable d'un foyer permanent de peste des rongeurs en Europe centrale et de l'est (foyer aujourd'hui disparu) en lien avec ceux du Caucase[40]. Il est cependant certain que les échevins et les intendants de santé chargés de cette réglementation ont agi avec beaucoup de légèreté. Les médecins (même les médecins de peste) sont impuissants devant cette épidémie dont ils ne connaissent que les symptômes apparents. La peste en Provence au, Journal abrégé de ce qui s'est passé en la ville de Marseille depuis qu'elle est affligée de la contagion, dans Jauffret, Michel Signoli, Georges Leonetti, Pierre Champsaur, Christian Brunet, Olivier Dutour, « Mise en évidence d'une autopsie crânienne pendant la grande peste de Marseille (1720-1722) ». D'autre part, des infirmeries, parfois appelées lazarets car elles sont placées sous la protection de saint Lazare, ont été aménagées pour les passagers et les marchandises. Chaque navire faisant escale dans un port du Levant se voit délivrer une patente, certificat délivré par les consuls des ports orientaux aux capitaines des vaisseaux souhaitant rentrer en France, qui précise l'état sanitaire de la ville. Elles sont ensuite acquises par délibération de la ville en date du 24 octobre 1763 pour être placée à l'hôtel de ville d'où elles seront transférées en 1804 dans le nouveau musée installé dans l'ancien couvent des Bernardines, actuel lycée Thiers. Selon Sciences et Avenir, une nouvelle étude de l'Institut Max Planck en 2016 révèle que cette épidémie de peste « marseillaise » ne venait pas du Moyen-Orient comme on le pensait, mais était une résurgence de la grande peste noire ayant dévasté l’Europe au XIVe siècle. Mais ces mesures arrivent trop tard, car des tissus sortis en fraude des infirmeries ont déjà transmis la peste dans la ville. Pour conduire les chariots et enlever les cadavres, il est alors fait appel aux forçats de l'arsenal des galères, choisis parmi les plus médiocres rameurs[36]. Il meurt alors trois cents personnes par jour[c 11]. Ce vinaigre antiseptique connut des heures de gloire et ne disparut du Codex qu’en 1884[30]. C’est un épisode tardif de la seconde pandémie de peste qui toucha l’Europe, mais c’est une épidémie de peste parmi d’autres, comme il y en a eu beaucoup depuis l’Antiquité », relativise Emmanuel Eliot. Les démarches sont strictes : le capitaine d'un vaisseau en provenance du Levant laisse son navire à l'île de Pomègues et se rend en barque au bureau de santé pour présenter la patente qui lui a été délivrée et selon le type de celle-ci, le bureau de santé décide de la durée de la quarantaine à appliquer aux marchandises et aux personnes[8]. Parmi les différents signes qui marquent ce renouveau de l'activité en 1721, peut être retenue par exemple la reprise le 19 février des délibérations de la Chambre de commerce qui les a interrompues depuis le 19 juillet 1720. C’est dans cette dernière ville qu’il accueille le 21 mars 1721 un groupe de vingt-et-un apprentis chirurgiens et médecins venus de Paris apporter leur aide. Dans les espaces intérieurs ainsi conquis sont construites des voies nouvelles se coupant perpendiculairement. Les deux toiles de Michel Serre sont achetées par M. de Cannis qui les fait exposer en Angleterre et en Hollande. À la suite de graves négligences, et malgré un dispositif de protection très strict comportant notamment la mise en quarantaine des passagers et des marchandises, la peste se propage dans la ville. Si ce type de peste avait sévi, certains historiens pensent que la maladie aurait pu toucher l'ensemble du pays, et toute l'Europe, avec un nombre de morts considérable[c 18]. À la mi-août des médecins, François Chicoyneau et Verny, de l'université de Montpellier, viennent à Marseille sur ordre du Régent, conseillé par son premier médecin Pierre Chirac[c 10]. D'après les descriptions de l'époque, il est possible d'affirmer que la peste de Marseille fut bubonique ou plus exactement bubo-septicémique[c 17]. Elles y demeurent jusqu'à la suppression de l'ordre en 1762. Sur les conseils d'Anne-Madeleine Rémusat, il décide le 1er novembre 1720 de consacrer la ville au Sacré-Cœur de Jésus au cours d'une cérémonie expiatoire sur le cours qui porte aujourd'hui son nom. La présence du chevalier Roze, des échevins et des piquets de troupe à l'angle des rues est rendue nécessaire par la conduite redoutée des forçats[51]. La peste ! ». La toile « Scène de la peste de 1720 à la Tourette » de Michel Serre aurait appartenu au chevalier Roze en personne[50] ; c'est celle où les pestiférés sont les plus présents avec les forçats dont l'aspect dramatique est renforcé par un bandeau imbibé de vinaigre qui est censé les protéger de la contagion. Face à cette épidémie sans précédent, il décide de rendre visite aux malades en leur administrant les derniers sacrements. Elle fut propagée à partir du Grand-Saint-Antoine, un bateau en provenance du Levant (la région de la Syrie), accostant à Marseille le 25 mai 1720, jugé comme étant à l’origine de l’épidémie. Ce dernier tableau a servi de modèle à Thomassin pour réaliser une gravure en 1727 qui se trouve au musée de la Marine à Marseille. Seul le chevalier Roze qui s'est distingué dans le nettoiement du quartier de Rive-Neuve, accepte la mission de débarrasser de ses cadavres le quartier de la Tourette. Le souvenir de la peste de 1720, évènement tragique d'une ampleur exceptionnelle, semble toujours présent dans la mémoire collective des Marseillais. Il est cependant écroué le 8 septembre 1720 au château d'If et ne sera libéré que le 1er septembre 1723, bien que sa non-culpabilité ait été admise depuis longtemps[c 29]. Durant cette épidémie plusieurs personnes interviennent pour apporter une aide matérielle ou morale à la population particulièrement éprouvée. L’origine de cette potion est la suivante : quatre voleurs sont arrêtés alors qu'ils détroussaient les pestiférés au cours de l'épidémie de Toulouse en 1628-1631. Les lieux de quarantaine des vaisseaux ont été établis à l'île Jarre, au sud de la rade de Marseille, si la peste est avérée, ou à l’île de Pomègues où cinq hectares de terrains et de bâtiments ainsi qu'un petit port ont été aménagés pour recevoir environ trente-cinq navires[d 1]. Des fragments de draps démontrent que les cadavres ont été enterrés nus dans des linceuls. La ville de Beaucaire est épargnée, probablement grâce à la sage précaution de supprimer la foire traditionnelle. L'immigration a réparé la plus grande partie des pertes[45]. Le chirurgien de service du port, Gueirard, examine le cadavre et conclut à une mort par vieillesse, sans observer des marques de peste[c 6]. Le 9 août, les civières ne suffisent plus et apparaissent les premiers tombereaux pour l'enlèvement des cadavres. Le 5 avril un Turc meurt à bord et son cadavre est jeté à la mer. L'épidémie de peste progresse dans la vieille ville. Cette perte de population est rapidement compensée en trois ou quatre ans seulement. Des épidémies frappent la ville à de nombreuses reprises, notamment en 1580 où la peste a été très meurtrière et a fait proportionnellement autant de morts sinon davantage que celle de 1720[e 1]. On le vit aussi distribuer d'abondantes aumônes afin de soulager ses ouailles. Les corps étaient systématiquement recouverts de chaux vive. La peste fut introduite à Marseille le 25 mai 1720 par le navire marchand Grand-Saint-Antoine, qui était en provenance de Sidon au Liban et qui avait fait escale à Smyrne, Tripoli et Chypre, trois foyers de contamination. Elle se déclare à Marseille avec l’arrivée du Grand Saint-Antoine le 25 mai 1720 (navire marseillais qui revient des Échelles du Levant). De nombreuses réglementations sont mises en place par les diverses autorités locales et les parlements. Or, les descriptions de l'époque faites par des contemporains tels que le docteur Bertrand[24] ou Pichatty de Croissainte[25] ne font aucune mention de mortalité de rats[c 19]. On distingue trois types de patentes : En cas de patente nette la durée de la quarantaine est ordinairement de dix-huit jours pour les personnes, vingt-huit pour le navire et trente-huit pour la cargaison. La valeur des produits du Levant apportés dans le port de Marseille en 1714 s'élève à vingt-trois millions de livres, somme jamais atteinte précédemment[2]. Ces charniers n'ont jamais été jugés dignes d'intérêt archéologique et les restes humains ont été réinhumés ou mis en décharge. Ces infirmeries sont situées au bord de la mer, entre l'anse de la Joliette et celle d'Arenc, à 400 m environ au nord de l'enceinte de la ville ; construites sous Colbert, elles sont constituées de hangars pour les marchandises et d'habitations pour les voyageurs, sur une emprise de 12 hectares, ceinturée de murailles et ne comportant que trois points d'accès[d 1]. Les Italiens interdisent l'entrée du navire dans le port et le font mettre à l'ancre dans une crique gardée par des soldats. La peste à Montpellier (réédition 2020) 2€ Dispositifs de contrôle, police et résistances pendant la peste de 1720 2€ La mission médicale montpelliéraine à Marseille, lors de l’épidémie de peste de 1720 2€ La peste … Un médecin et un chirurgien sont attachés à cet établissement[6]. Nous célébrons cette année, c’est vrai, le triste anniversaire de l’arrivée de la peste à Marseille. Les religieux avec à leur tête Mgr de Belsunce apportent quant à eux un réconfort moral aux mourants. À la demande de Mgr de Belsunce, les échevins font le 28 mai 1722 à la suite de cette rechute le vœu solennel d'aller entendre à chaque date anniversaire la messe au monastère de la Visitation et d'offrir « un cierge ou flambeau de cire blanche, du poids de quatre livres, orné de l'écusson de la ville pour le brûler ce jour-là devant le Saint-Sacrement[g 5] ». Une dizaine d'œuvres semblent avoir été réalisées pendant ou peu de temps après l'épidémie : trois toiles de Michel Serre, quatre gravures de Jacques Rigaud, un ex-voto de François Arnaud, une toile de Jean-François de Troy et une esquisse attribuée à Dandré-Bardon. À la mi-août, les infirmeries ne peuvent plus recevoir les malades ou les morts, les cadavres sont laissés dans les rues[c 9]. Cette variation traduit les phases successives de l'épidémie qui va en décroissance rapide. Il touche les malades, dissèque les cadavres sans aucune précaution : il a cependant la chance extraordinaire de ne pas avoir contracté la maladie[29]. Afin d'honorer l'héroïsme des Marseillais pendant la peste de 1720, un monument est érigé sous le Premier Empire place Estrangin-Pastré et inauguré le 16 septembre 1802 par le préfet Delacroix[53]. Parmi les forçats cinq seulement survécurent[e 4]. Estelle ne bénéficie pas longtemps d'une telle faveur car il décède peu après le 16 janvier 1723 à l’âge de 61 ans. Samat. Lors de l’épidémie, l'alimentation de la population ainsi que l’évacuation des cadavres posent de graves problèmes et mobilisent les échevins qui montrent beaucoup de courage. Les remparts du Moyen Âge ont été démolis et la superficie de la ville intra-muros est triplée, passant de 65 à 195 hectares[3]. Pourtant, la peste est apportée à Marseille le 25 mai 1720 par le Grand Saint-Antoine, un bateau de retour de Smyrne, ayant mouillé dans plusieurs échelles où l’épidémie sévissait non loin, comme Seyde (Sidon), Tripoli (actuel Liban) ou Chypre – au Levant, la maladie était alors à l’état endémique. Les conditions d'entrée des bateaux au port sont strictes car la France a … Aucune preuve formelle n’a pu être établie. la patente nette lorsque rien de suspect n'existe dans la région au moment du départ du vaisseau ; la patente suspecte lorsque règne dans le pays une maladie soupçonnée pestilentielle ; la patente brute lorsque la région est contaminée par la peste, James W. Joyce, « La peste de Marseille de 1720-21 vue par les Anglais », dans, Michel Signoli, Isabelle Seguy, Jean-Noël Biraben, Olivier Dutour, « Paléodémographie et démographie historique en contexte épidémique. Sous l’autorité du viguier, Louis-Alphonse Fortia, marquis de Pilles, les échevins de l’année, Jean-Pierre de Moustiès et Balthazar Dieudé, et ceux de l’année précédente, Jean-Baptiste Estelle et Jean-Baptiste Audimar, se dépensent sans compter et font preuve d’un grand courage. Cela peut expliquer le grand nombre de réalisations de peintures, gravures ou sculptures et de publications d'ouvrages historiques ou romans concernant cette épidémie. En revanche le fameux vinaigre des quatre voleurs n'a aucun effet. Les intendants sanitaires ont probablement une lourde responsabilité. Signoli Michel, Chevé Dominique, Boetsch Gilles, Dutour Olivier, « Du corps au cadavre pendant la Grande Peste de Marseille (1720-1722) : des données ostéo-archéologiques et historiques aux représentations sociales d'une épidémie », Édouard Saman, « Le Dernier Voyage du Grand-Saint-Antoine ». ド・カニスが購入しイングランドやオランダで展示された。この作品群はイエズス会の大学ベルサンス総長が所有し、彼の名を冠したコレクションの一つであり、1762年にイエズス会が弾圧を受けるまでその所有下にあった。1763年10月24日、その作品はマルセイユ市の所有となり、当初は市庁舎に在ったが1804年に旧ベルナルディーヌ修道院(現在のティエール高校)にある新しい博物館へ移された[49]。「市庁舎の眺め」はマリオン窓を持つ市庁舎付近の建造物に遺体を搬送する場面が非常に良く描出されている。この絵画は左側、つまり市庁舎の西側が切り取られている[50]。, 第二のグループは騎士ニコラ・ローズがトゥレット通りからペスト犠牲者の遺体を搬送した様子を描写したもので、ミシェル・セールの3つ目の作品「Scène de la peste de 1720 à la Tourette/1720年のラ・トゥレットのペストの光景」(モンペリエのアトジェ美術館収蔵、高さ1.25m×幅2.10m)、現在はマルセイユ美術館に収蔵されている1725年に描かれたジャン・フランソワ・ド・トロワの絵画「 Le chevalier Roze à la Tourette /トゥレットの騎士ニコラ・ローズ」(高さ2.28m×幅3.75m)からなる。後者の作品はマルセイユ海洋博物館に所蔵されているトマッサンが1727年に製作した版画の素材となった。ルーアン美術館に所蔵されているダンドレ=ベルドンのスケッチもまた、騎士ニコラ・ローズを題材としたものである。ミシェル・セールによる「Scène de la peste de 1720 à la Tourette/1720年のラ・トゥレットのペストの光景」については、騎士ニコラ・ローズ自身が所有したと考えられている。 Le bureau de santé s'inquiète très sérieusement et décide de transférer le vaisseau à l'île de Jarre, de faire brûler les hardes des personnes décédées et d’enterrer les cadavres dans de la chaux vive. Alcune aree furono parzialmente risparmiate: ad esempio, a Milano venne imposto un rigido controllo di merci e persone che portò a limitare le perdite a circa il 15% della popolazione, analogamente avvenne in Polonia. La peste en Provence au, Journal abrégé de ce qui s'est passé en la ville de Marseille depuis qu'elle est affligée de la contagion, dans Jauffret, Michel Signoli, Georges Leonetti, Pierre Champsaur, Christian Brunet, Olivier Dutour, « Mise en évidence d'une autopsie crânienne pendant la grande peste de Marseille (1720-1722) ». Les mesures prises, telles que la combustion de soufre dans les maisons, sont peu efficaces. Les mesures préventives sont largement traditionnelles, voire superstitieuses, telles que l'utilisation de phylactères. In 1720, Yersinia pestis arrived at the port of Marseille from the Levant upon the merchant ship Grand-Saint-Antoine. La version du 24 juillet 2010 de cet article a été reconnue comme «, Causes de la propagation et type de peste, Les responsables de l'épidémie et les intervenants, « un cierge ou flambeau de cire blanche, du poids de quatre livres, orné de l'écusson de la ville pour le brûler ce jour-là devant le Saint-Sacrement, « Dans un quartier dont tous les habitants avaient péri, on les avait murés à domicile, comme pour empêcher la mort de sortir. Un tableau de Dominique Antoine Magaud intitulé « Le Courage civil : la peste de 1720 à Marseille » peint en 1864 et actuellement exposé au musée des Beaux-Arts de Marseille, montre une réunion de travail des principales personnes chargées de l'administration de la ville. Le vice-consul de Tripoli, Monhenoult, délivre également une patente nette. Une compagnie de grenadiers enlève de force des paysans dans les campagnes pour creuser à l'extérieur des remparts une quinzaine de fosses[c 24]. Ainsi les moines de l'abbaye Saint-Victor se renferment derrière les murailles de leur monastère et se contentent d'envoyer quelques aumônes[g 10]. Mme Leprince de Beaumont, dans les Mémoires de madame la baronne de Batteville[22], décrit les conditions dramatiques dans lesquelles la population de Marseille dut vivre : « Les rues, les devants des portes étaient couverts de malades qui confondus avec les mourants, étaient abandonnés de tout le monde, les hôpitaux ne pouvant plus les contenir. Charles Mourre, « La peste de 1720 à Marseille et les intendants du bureau de santé », Christelle Omnès, « La peste de Marseille de 1720 dans la littérature du. Exposition du 20 juin au 20 septembre 2020 à l’Hôtel d’Agar. Ces toiles participent à la glorification de héros, civil pour le chevalier Roze, religieux pour Mgr de Belsunce, en mettant en relief le courage et le dévouement de ces personnages. La restauration de ce crâne en laboratoire a permis de reconstituer la technique d'anatomie utilisée pour cette autopsie, qui semble être identique à celle décrite dans un livre de médecine datant de 1708[38].

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